De retour de Muong Ngoy, nous avons fêté les 32 ans de Phil à Luang Prabang. La petite ville regorge de restaurants et de bars à cocktails sympas. Chaque soir, les touristes déambulent dans un petit marché de souvenirs et marchandent de magnifiques textiles à des prix dérisoires. Aux abords de Luang prabang, nous avons pu admirer de superbes chutes d’eau dévalant en cascades entre les arbres.
Nous avons aussi eu la chance d’y assister au Loy Krathong, un festival thaï qui a lieu ici aussi.
Il est ensuite temps de se rediriger vers Bangkok en vue de mon retour au pays. Notre dernière escale est Vang Vieng, une ville aux su
Malheureusement elles tournent à leur fin et il est temps pour moi de sérieusement penser à regagner Bangkok, d’où décolera mon vol de retour. Destination atteinte après quelques heures de bus suivies d’une nuit de train. Nous profitons au maximum de mon dernier jour dans cette grande ville asiatique : copieux repas dans les « food hall » des centres commerciaux, proposant toujours cet incroyable choix de mets divers à prix minis qui me fais saliver rien qu’à y penser, et visite en bateau des canaux de Bangkok Noi.
Le lendemain, je découvre le véritable sens de l’expression « avoir des pieds de plombs » en quittant ce continent qui m’a tant fait vibrer et dont les habitants m’ont tellement touchée par leur simplicité… Pas de doute j’y reviendrai (via Hong Kong cette fois, avec un petit coucou à Sayu et Nico). Phil continue sa route mais on s'est donné rendez-vous dans quelques semaines à Sydney…
A Barhein, mon escale, la compagnie d’aviation (GULF AIR pour ne pas la citer!!!) applique à nouveau sur ma personne sa politique d’élimination des voyageurs solitaires suite à leur intense overbooking. Grrr, il est 2 heures du mat, j’ai déjà 14 heures de voyage et d’attente dans les dents, je montre les crocs. Je finis donc, après de longues négociations relativement agressives, en business class dans un avion me ramenant vers l’Europe.... où la présence de mes amis et de ma famille me console de ce retour trop rapide à mon goût dans ce pays au ciel et aux visages gris... Je survivrai jusqu'à la suite... le soleil australien…dans 3 semaines ;-)
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