
3 novembre 2007
Phil et moi avons visité Bangkok en 4 jours sous une température de plus de 30 degrés. Mon premier temple fut un temple de la consommation et du luxe... un centre commercial de plusieurs centaines de milliers de mètres
carrés de magasins de marques, style Chanel ou Ferrari (oui oui jvous jure, dans une galerie commerçante, des bagnoles de luxe). Le premier étage y est consacré à la restauration : on y est soumis au choix difficile entre une impressionnante diversité de mets asiatiques alléchants: soupes thailandaises, nouilles en tous genres, rouleaux de printemps. Après cette visite plutôt instructive, j ai eu droit aux vrais beaux temples bouddhistes, magnifiques joyaux rutilants de Bangkok.... Les stupas dorés se dressent vers le ciel, d’innombrables bouddhas en ornent les couloirs aux toits de tuiles rouges et vertes. Dans ces havres de calme perdus au milieu de cette jungle urbaine
déambulent des bonzes portant la robe orange et la sébile.
Phil et moi avons visité Bangkok en 4 jours sous une température de plus de 30 degrés. Mon premier temple fut un temple de la consommation et du luxe... un centre commercial de plusieurs centaines de milliers de mètres


Dans cette ville d’une culture complètement différente de la mienne, je me sens submergée par tant de scènes que je voudrai ne pas oublier : Chinatowm, les petits marchés, les bateaux publics sur la rivière qui font office de bus, le skytrain, les taxis roses (pour Iris), pas de smart, sorry Ingrid, des chronomètres aux feux de signalisation, sympa pour les impatients...
Les gens déambulent dans les rues et m’impressionnent par leur civisme : jamais à Bangkok je n’ai été bousculée dans un métro bondé ; les gens s’alignent en file derrière des marques au sol indiquant l’emplacement des portes des wagons. 
Cottoyant le luxe des centres commerciaux et des hôtels chics, les gens vivent dans des taudis, des vieux bâtiments attaqués par la pollution de la ville omniprésente... Leurs fenêtres sont protégées par d’épaisses grilles de fer. Néanmoins, j’en ignore toujours l’utilité. A aucun moment à Bangkok, je n’ai ressenti un sentiment d’insécurité : la criminalité semble absente ou est invisible a mes yeux, mais j’y ai vu peu de forces de l’ordre….

Cottoyant le luxe des centres commerciaux et des hôtels chics, les gens vivent dans des taudis, des vieux bâtiments attaqués par la pollution de la ville omniprésente... Leurs fenêtres sont protégées par d’épaisses grilles de fer. Néanmoins, j’en ignore toujours l’utilité. A aucun moment à Bangkok, je n’ai ressenti un sentiment d’insécurité : la criminalité semble absente ou est invisible a mes yeux, mais j’y ai vu peu de forces de l’ordre….
Les voies publiques sont les seuls endroits où on s’y sente réellement en danger de mort. La circulation est dingue, peu de passages pour piétons, tu traverses quand tu peux, faut être un peu suicidaire mais on fait avec. Dans la plupart des endroits, des passerelles aériennes permettent le passage des piétons sans interrompre le trafic.

29 OCTOBRE 2007
Bien arrivée a Bangkok, malgré quelques problèmes avec l’overbooking de Gulf Air à Paris: ils ont viré tous les voyageurs solitaires du vol. Pas question de rester bloquée a Paris, vous connaissez tous mon entêtement légendaire!!! et mon profond désir de faire ce voyage et de retrouver Phil. Malgré la fatigue liée à ma nuit blanche à danser au mariage d’Iris, j’ai un regain d’énergie et deviens déterminée à monter dans cet avion ! Du coup je me suis subitement transformée vite fait en la jeune fille au pair improvisée d une petite famille de Français histoire de voyager à 5 et non seule! Ca passe : gagné !
L’Asie du sud-est ; j’en rêvais depuis des années et m’y voici enfin. Sur le trajet me conduisant de l’aéroport à l’hôtel, je dévore le décor des yeux, essayant de ne rien rater. Les habitations, le trafic, les marchands et cuisines de rue. Bangkok se dresse devant moi. Véritable métropole de tours de verre au sein d’une végétation tropicale, cette ville pourrait être imaginée comme New York avec des palmiers et des gens au visage souriant.
Complètement lessivée après le vol, je me suis reposée avant l’arrivée de Phil, et, trop heureux de se retrouver, on a mangé en amoureux au 60eme et dernier étage d un gratte-ciel avec superbe vue sur la ville... Ici, le luxe est à portée de toutes les bourses… européennes tout du moins !
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